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Blue MidVoice Episode 13 : Vulnérabilité versus Mode Victime

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Le lien pour télécharger l’exercice issu de ce podcast : https://bluemidlife.fr/victime-vs-vunerable/ 

L’épisode est en ligne :

L’épisode est aussi sur Youtube !

Découvrez comment passer de la mentalité de victime à la puissance de la vulnérabilité ! 

NOUVEAU PODCAST

Bonjour à tous ! 🌞

🤩 Nouvel épisode de podcast disponible !

Titre de l’épisode : Victime vs Vulnérable – Telle est la question 🤓

Êtes-vous conscient de votre propre attitude face à la vie ? 

Grâce à cet épisode, faites la différence entre ces deux états d’esprit, et comment ils peuvent façonner notre existence. 

Libérez-vous du poids du blâme et de la défensive 🚛

Prenez le contrôle de vos émotions et vivez vos rêves. 🎯

La vulnérabilité n’est pas une faiblesse, mais une force qui vous permettra de grandir et d’évoluer. 

Découvrez comment embrasser votre vulnérabilité et être en paix avec vous-même, car “Ce que je suis suffit.”

Libérez-vous de la mentalité de victime et choisissez la puissance de la vulnérabilité dès maintenant ! 💪😊

Je me base pour cela sur l’épisode 6 du podcast “Vulnerability versus Victim Mentality” de Brooke Castillo. 🎙️

Je vous souhaite une belle écoute 🎧 et partagez avec moi ce que cet épisode vous aura fait découvrir.

Je suis Catherine BARLOY, coach en bilan de compétences pour Blue Midlife sur Nancy mais surtout à distance.

Je partage avec vous et avec mes invités des conseils pour envisager une vie professionnelle plus épanouie.

Je vous souhaite une bonne écoute. 🎧

Si vous avez aimé cet épisode, laissez-moi une note et un commentaire sur Apple Podcast, Spotify ou votre plateforme d’écoute ! Cela aide le podcast à se faire connaître. 😊

Bonus Blue Midlife
  • Explorer la distinction entre la mentalité de victime et la vulnérabilité.
  • La mentalité de victime peut être inconsciente et se manifeste souvent par le blâme et la défensive.
  • Les personnes avec une mentalité de victime perdent leur pouvoir et se sentent souvent piégées.
  • Chercher un coupable est une tendance commune chez les victimes, ce qui crée un sentiment d’impuissance.
  • Être vulnérable demande du courage et implique d’être ouvert à toutes les émotions.
  • Être vulnérable permet de préserver son pouvoir et d’être en accord avec ses émotions.
  • La vulnérabilité permet de reconnaître sa propre valeur et d’embrasser toutes les émotions.
  • Prendre la responsabilité de ses émotions est essentiel pour avancer vers la vulnérabilité.
  • Choisir entre être victime ou vulnérable est une décision personnelle.

En voici la retranscription et les liens associés :

Bonjour, je suis Catherine BARLOY, coach en bilan de compétences pour Blue Midlife. Après des années comme chef de projet dans la recherche clinique, je suis devenue coach et je vous accompagne pour trouver VOTRE voie professionnelle dès maintenant. Bienvenue sur ce podcast où je partage avec vous, seule ou avec mes invités, des conseils, des expériences, du coaching dans la bonne humeur. Alors on est parti pour l’épisode du jour.

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Bonjour à tous et bienvenue pour l’épisode 13 du podcast Blue MidVoice.

Je l’enregistre aujourd’hui en solo avec le thème : Vulnérabilité versus mode victime : le duel du siècle 🙂

Mais avant de commencer, je souhaiterais remercier Shu Yi qui m’a laissé un avis sur Google : Catherine est une personne bienveillante, patiente et douce. Les échanges avec elle m’ont permis de me sentir soutenue et encouragée dans les différents projets d’avenir. Elle a su poser des bonnes questions pour que je réfléchisse plus profondément. Je la recommande vivement!

Merci beaucoup Shu YI

Donc si vous souhaitez en savoir plus sur mes accompagnements coaching et bilan de compétences, contactez-moi sur les réseaux sociaux ou par e-mail et je vous rappellerai pour en parler ensemble au moment qui vous conviendra le mieux. Je mets les différents liens pour me joindre dans la description ou sinon taper Bluemidlife dans Google et vous me trouverez.

Et donc nous voilà partis pour l’épisode du jour : Vulnérabilité versus mode victime

Cet épisode est un résumé du podcast numéro 6 de Brooke Castillo revu avec mon approche personnelle et avec le Cours de Compassion de Thom Bond. Je vous mettrai les liens dans la description comme d’habitude.

Avant de me lancer, je voudrais partager le fait que, lorsque j’ai écouté la première fois cet épisode, nous étions en 2016 et être victime, pour moi, était quelque chose sur lequel on n’avait pas de prise. Nous étions victimes et c’est tout. Il y avait tellement de personnes victimes dans ce monde, viols, abus, guerre, j’en passe et des pires, tant de victimes innocentes que l’on ne pouvait rien y faire et rien changer. Donc en écoutant cet épisode, j’ai tout d’abord trouvé Brooke Castillo dure dans ses propos, puis j’ai eu l’impression que tout était compliqué, mouvant et au final après plusieurs écoutes et aussi du coaching, tout est devenu clair.

Alors voilà ce que je vous propose, je vous propose de vous partager la clarté que j’ai obtenue et surtout l’ouverture d’esprit que Brooke m’a apportée. Je vous donne ma perspective de coach pour vous emmener vers une vie future, une vie plus épanouie, mais si vous avez vécu une agression, il est nécessaire de vous faire accompagner par un thérapeute pour apaiser votre relation à votre passé.

Donc le sujet du jour est la mentalité de victime et sa différence avec l’expérience de la vulnérabilité. Brooke explique que ces deux aspects doivent être examinés attentivement afin d’évaluer sa propre vie et de déterminer si l’on vit ses rêves ou ses cauchemars.

Brooke souligne qu’il est courant que les gens ne se rendent pas compte qu’ils ont une mentalité de victime. Elle explique que la plupart des personnes ne choisissent pas consciemment cette mentalité, mais elles peuvent s’y identifier sans le savoir, surtout si elles ont été blessées dans le passé. La mentalité de victime se manifeste souvent par le blâme, où l’on attribue la responsabilité de son malheur à d’autres personnes ou circonstances. Cela conduit à perdre son pouvoir et à affecter négativement sa façon de vivre.

Un autre aspect de la mentalité de victime est le fait de se mettre sur la défensive. Brooke souligne que si l’on se sent sur la défensive lorsque quelqu’un pose des questions sur les problèmes de sa vie ou si l’on ressent le besoin de se justifier, cela peut être un signe de cette mentalité. La peur de s’exposer et d’être attaqué est également courante chez les personnes ayant une mentalité de victime.

Brooke précise que la mentalité de victime n’est pas un signe de faiblesse, mais plutôt un schéma de croyance qui influence la vie des personnes. Adopter une mentalité de victime conduit à se plaindre fréquemment et à blâmer les autres pour nos problèmes, ce qui entraîne un apitoiement sur soi-même et un sentiment d’être piégé. Parfois les personnes peuvent avoir tendance à interpréter la plupart des histoires avec les autres comme s’ils étaient toujours la victime. Par exemple, s’ils ne sont pas invités à une fête, ils pensent que c’est intentionnel et qu’ils ont été exclus, même si le fait est simplement qu’ils n’ont pas été invités. C’est l’interprétation de ce fait qui donne à la personne sa position de victime.

Très souvent cette position de victime vient du passé et c’est pourquoi je vous conseille un accompagnement avec un thérapeute si c’est votre cas.

Brooke explique que chercher un coupable est une tendance commune chez les personnes adoptant une mentalité de victime. Cela donne l’impression de maintenir le pouvoir, mais en réalité, ils abandonnent leur propre pouvoir en plaçant la responsabilité de leurs émotions sur l’agresseur présumé. Cela crée des sentiments d’impuissance, de dépossession, de colère et de peur.

Par exemple, dans une discussion au café entre collègues, quelqu’un vous dit : “Tout le monde pense que tu es beaucoup plus âgée que tu ne l’es”, vous pourriez vous sentir blessée, projeter votre colère et votre frustration sur cette personne, vous plaindre auprès de votre conjoint et vous laisser submerger par la pitié pour vous-même et mettre le blâme sur l’autre personne. Cela illustre la mentalité de victime.

Brooke propose une réponse comme celle-ci : “Oui, c’est ton opinion. Peut-être que ton opinion est vraie, et peut-être qu’il y a beaucoup de gens qui seraient d’accord avec toi, mais ça n’a rien à voir avec moi, et je ne vais pas prendre ça sur moi.” Ceci lui permet de prendre ses responsabilités et de décider elle-même de ses émotions sans donner son pouvoir à la personne qui fait le commentaire.

J’avais bien aimé une histoire de Bouddha relatée par l’écrivain Wayne Dyer : Bouddha se promenait et, derrière lui, marchait un homme qui faisait sans cesse des commentaires négatifs sur Bouddha, cette situation dura toute la journée et au soir, l’homme demanda à Bouddha : “je te critique toute la journée et tu ne dis rien, pourquoi ?”. Bouddha lui répondit : “quand quelqu’un fait un cadeau à une personne, mais que cette personne ne le prend pas, à qui est le cadeau ?”

Il est facile pour certains de lancer du venin sur des personnes considérées comme plus fragiles. Ces personnes plus fragiles, vous pouvez en faire partie car votre passé a peut-être laissé des séquelles (que vous allez soigner avec un thérapeute, oui, je me répète), mais votre passé ne vous définit pas. ce qui vous définit, c’est le présent, c’est votre présent.

Reprendre votre pouvoir commence par ne pas prendre les cadeaux que certains voudraient vous offrir. Reprendre votre pouvoir, c’est juste vous en tenir au fait et ne pas interpréter. Reprendre votre pouvoir, cela peut être aussi de dire comme suggère Brooke : “Ce commentaire était inutile. Peut-on passer à autre chose ?” ou : “C’est une opinion intéressante que tu as partagée là.”

Si vous ressentez une émotion négative telle que l’humiliation ou la honte en réaction à un commentaire, cette émotion est causée par votre propre pensée et non par les paroles de l’autre personne. C’est cette distinction qui vous permet de garder votre pouvoir et d’éviter de tomber dans la mentalité de victime.

Brooke propose de se poser la question “Est-ce que cela dit la vérité ?” Elle essaie de toujours prendre ses responsabilités pour ce qu’elle ressent dans sa vie, parce qu’elle reconnait que c’est sa responsabilité de déterminer comment elle se sent, car tous ses sentiments sont causés par sa façon de penser.

J’avoue que à la première écoute, je me suis dit “OK facile à dire”. cela demande de s’analyser et d’avoir un super self-control et je me suis dit que c’était trop compliqué et j’ai lâché l’affaire. Mais plus tard, j’y suis revenue, un peu comme si Brooke avait planté une graine et que j’avais commencé à l’arroser à mon rythme.

Oui, nous sommes humains et nous ne pouvons pas changer en un claquement de doigt, enfin moi parce que si c’est votre cas, chapeau 🙂 Tout ce que je partage là avec vous, prenez le temps. Peut-être que je viens à mon tour de planter une graine et peut-être que votre réaction est de dire : “elle est gentille, mais elle n’a pas vécu tout ce que j’ai vécu”. Oui, c’est certain, nous avons chacun notre vie propre, notre propre chemin mais pourquoi ne pas tenter l’expérience ? Juste pour voir.

Avoir une mentalité de victime ne signifie pas que nous sommes faibles. Cela signifie seulement que notre cerveau est pris dans une boucle de pensées. Lorsque cela se produit, une pensée courante est : “Il y a quelque chose qui ne va pas chez moi.” Lorsque nous nous identifions en tant que victime, il doit également y avoir un bourreau. Qui est votre bourreau aujourd’hui ? Qui blâmez-vous ? Très souvent, c’est nous-mêmes. Nous pouvons jouer les deux rôles à la fois, celui de la victime et du coupable.

Par rapport aux autres, il peut y avoir aussi l’envie de riposter pour ne pas donner l’impression d’être une carpette du style Tu t’énerves, je m’énerve. Juste à vous de voir où vous souhaitez placer votre énergie et votre pouvoir. Je pars du principe que s’énerver et riposter ne m’aidera pas à grandir humainement et va me prendre de l’énergie, mais c’est juste ma façon de voir les choses. Vous pouvez avoir envie de riposter et c’est votre choix que je respecte.

Brooke partage un autre exemple : Si quelqu’un vous dit : “Je déteste vraiment tes cheveux bleus”, en supposant que vous n’avez pas les cheveux bleus. Si quelqu’un vous dit : “Je déteste tes cheveux bleus”, vous n’allez probablement pas vous mettre à pleurer, vous n’allez probablement pas vous dire : “Ça me fait vraiment mal”, vous n’allez probablement pas tomber dans le rôle de la victime parce qu’il n’y a aucune partie de vous qui croit que vous avez les cheveux bleus.

Comment éviter de se sentir comme une victime lorsque l’on reçoit des commentaires négatifs ou des critiques ? Brooke dit qu’il est important de croire en soi-même et de ne pas donner aux autres le pouvoir de nous affecter. Elle souligne également l’importance de prendre soin de soi et de comprendre ses propres pensées et émotions.

Lorsque nous choisissons d’être une victime, nous pouvons nous cacher. Nous pouvons agir de manière folle et incontrôlée, en voulant tout contrôler. Nous pouvons nous défendre et combattre. Tout cela pour éviter de ressentir des émotions négatives. Brooke parle alors de la vulnérabilité et qu’être vulnérable ne signifie pas être faible, mais plutôt être prêt à ressentir toutes les émotions qui se présentent. Elle fait référence au livre Oser avec audace de Brené Brown, qui explore la honte et la vulnérabilité. L’auteur souligne que la vulnérabilité demande du courage, car elle implique d’être complètement ouvert et prêt à faire face à toutes les émotions, sans se cacher ou se défendre. En écoutant les opinions et les commentaires des autres sans se mettre sur la défensive, on peut atteindre une grande force intérieure.

Lorsque nous choisissons d’être vulnérables, nous pouvons être courageux et curieux. Nous pouvons permettre aux autres de penser ce qu’ils veulent. Nous pouvons être d’accord ou en désaccord. Nous pouvons être totalement engagés et prêts à vivre n’importe quelle émotion. Nous pouvons préserver notre pouvoir.

L’ouverture à la vulnérabilité est essentielle pour faire face à ses émotions. Cela peut aider à identifier les schémas de pensée qui créent des émotions négatives et à les changer.

Être vulnérable, c’est reconnaître notre valeur tel que l’on est, indépendamment des normes de la société. Être vulnérable signifie être ouvert à ressentir toutes les émotions, même les plus inconfortables, sans chercher à les éviter ou à les nier. C’est en embrassant la vulnérabilité que l’on trouve notre véritable force. Dans le Cours de Compassion, Thom Bond nous apprend à reconnaître nos émotions, nos sentiments pour aller voir derrière nos besoins. Découvrir et écouter nos besoins nous remet aux commandes également de notre vie.

Brooke encourage les lecteurs à se questionner sur les domaines de leur vie où ils évitent de ressentir leurs émotions, où ils évitent de poursuivre leurs rêves ou d’avoir des conversations difficiles par peur de l’émotion que cela susciterait. Elle suggère également d’identifier les tendances à blâmer les autres pour ce que l’on ressent, et propose de prendre la responsabilité à 100% de ses émotions.

Être vulnérable c’est accepter de se voir tel que nous sommes, parfait dans notre imperfection, mais parfait tels que nous sommes.

Brooke reprend la phrase que j’aime beaucoup : “You are enough” que l’on peut traduire par “Ce que je suis suffit”. N’est-ce pas apaisant comme phrase : “Ce que je suis suffit.”

Alors

Victime ou vulnérable : Tout est dans le choix et la décision vous appartient.

Ainsi se termine cet épisode de podcast : Je me rends compte qu’il a duré plus longtemps que prévu, mais j’avais vraiment envie de vous donner des clés pour avancer dans ce domaine-là aussi. Prenez du temps pour vous, Prenez le temps de vous poser et d’écouter ce qui se passe en vous quand vous écoutez tout cela.

Si vous n’avez pas eu le temps de prendre des notes, je vous ai préparé un workbook pour vous permettre de faire le point à tête reposée pour vous aider à avancer.

Je vous laisse réfléchir à cela et je mets tous les liens à la fin de la retranscription.

Partagez avec moi ce que ce podcast vous a apporté et comment vous avez avancé. Vos commentaires et vos retours sont vraiment importants pour moi et partagez également ce podcast si vous pensez qu’il pourra servir à l’un de vos proches ou de vos collègues.

Je vous donne rendez-vous vendredi prochain pour ma prochaine interview avec Alexia Courrault. D’ici là, très belle semaine et à très bientôt.

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Si vous êtes resté jusqu’à la fin de ce podcast, sachez que j’organise un concours : pour cela, il vous suffit de laisser un commentaire sur apple podcast ou spotify et de m’envoyer la copie d’écran de ce commentaire sur l’adresse contact arobase bluemidlife.fr car nous ne savons pas qui nous met un commentaire. Tous les 8 podcasts, je ferai un tirage au sort pour offrir à une personne 1 heure de coaching dédiée à ses objectifs professionnels. A très bientôt

Si cet épisode vous a plu, n’hésitez pas à le liker, à le partager, à mettre 5 étoiles sur votre plateforme d’écoute préférée et je vous souhaite une belle semaine.

Le lien du podcast d’origine sur le site de Brooke Castillo : Ep #6: Vulnerability vs. Victim Mentality – The Life Coach School

Le Cours de Compassion de Thom Bond en français : https://coursdecompassion.fr/

Le lien pour télécharger l’exercice issu de ce podcast : https://bluemidlife.fr/victime-vs-vunerable/ 

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