Blue MidVoice Episode 9 : Comment échouer ?

Le lien pour télécharger l’exercice issu de ce podcast : https://bluemidlife.fr/comment-echouer/

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Dans cet épisode, nous abordons la question cruciale : Comment échouer ? Nous nous penchons sur l’idée de l’échec comme partie intégrante du processus d’apprentissage. Accepter l’échec comme une opportunité de croissance et de renforcement de la confiance en soi est essentiel pour progresser.

Nous nous appuyons sur les enseignements de Brooke Castillo dans son podcast “How to fail”. L’échec est vu comme une chance d’apprendre et de changer de perspective pour mieux avancer vers la réussite.

Je suis Catherine BARLOY, coach en bilan de compétences pour Blue Midlife, basée à Nancy mais disponible également à distance.

Je vous souhaite une agréable écoute 🎧. N’hésitez pas à partager vos découvertes et vos réflexions suite à cet épisode.

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Dans cet épisode, nous explorons le thème de l’échec et comment il peut être perçu différemment pour favoriser l’apprentissage et la croissance.

Définition de l’échec

L’échec est souvent associé à des sentiments négatifs, mais il peut être simplement vu comme une occasion d’apprendre et de progresser.

Éviter l’échec

Beaucoup évitent l’échec par peur des émotions négatives qui y sont associées, mais en changeant notre perception, nous pouvons transformer l’échec en opportunité.

Accepter l’échec

Apprendre à accepter l’échec comme une partie naturelle du processus d’apprentissage nous permet de renforcer notre confiance et notre résilience.

Pratiquer l’échec

Certains mentors encouragent même la pratique de l’échec comme moyen d’améliorer nos compétences et notre détermination.

Types d’échecs

Nous distinguons entre l’échec résultant de la prise de risques et celui découlant de l’auto-sabotage, soulignant l’importance de reconnaître nos propres schémas de pensée.

Conclusion

L’échec peut être une source d’apprentissage précieuse et une occasion de croissance personnelle. Prenez le temps d’explorer vos propres expériences d’échec pour en tirer des leçons et progresser.

Rendez-vous Prochain

Rejoignez-nous pour notre prochain épisode où nous discuterons avec Béatrice Roy. En attendant, prenez soin de vous et continuez votre chemin vers le succès.

En voici la retranscription et les liens associés :

Bonjour, je suis Catherine BARLOY, coach en bilan de compétences pour Blue Midlife. Après des années comme chef de projet dans la recherche clinique, je suis devenue coach et je vous accompagne pour trouver VOTRE voie professionnelle dès maintenant. Bienvenue sur ce podcast où je partage avec vous, seule ou avec mes invités, des conseils, des expériences, du coaching dans la bonne humeur. Alors on est parti pour l’épisode du jour.

Bonjour à tous et bienvenue pour l’épisode 9 du podcast Blue MidVoice.

Je l’enregistre aujourd’hui en solo avec le thème : Comment échouer ? Vaste sujet 😊

Mais avant de commencer, je souhaiterais remercier les personnes qui m’ont laissé 5 étoiles sur Spotify et Apple Podcast. Cela m’aide à me faire connaître alors merci à vous. Et comme prévu, dans mon petit concours de fin de podcast, tous les 8 épisodes, je tire au sort parmi les personnes qui m’ont laissé un message et donc la première personne qui a été tirée au sort après le podcast numéro 8 est Nadège. Elle a gagné une heure de coaching dédiée à ses objectifs professionnels.

Vous aussi, laissez-moi un message à propos de ce podcast, ce serait vraiment super pour moi d’avoir votre retour : postez-le sur l’une des plateformes d’écoute ou sur le réseau social de votre choix 😊 Ainsi vous me permettez de m’améliorer et vous participerez ainsi au tirage au sort qui aura lieu après l’épisode 16.

Et nous voilà donc partis pour l’épisode du jour : Comment échouer ?

Cet épisode est un résumé du podcast numéro 4 de Brooke Castillo revu avec mon approche personnelle. Je vous mettrai les liens dans la description comme d’habitude.

Alors en premier, intéressons nous à la définition de l’échec : d’après Le Larousse, l’échec est un résultat négatif d’une tentative, d’une entreprise, manque de réussite ; défaite, insuccès, revers : Exemple : Subir un échec. C’est pas très réjouissant tout ça et pas vraiment neutre tout cela. Si on se souvient que les circonstances amènent des pensées et je vous renvoie à mes épisodes impairs de ce podcast. Si nous commençons avec une définition qui amène un biais négatif, je vais avoir du mal à vous vendre que jouer avec ses échecs, c’est fun 😊 Par contre la définition de Wikipedia est beaucoup plus neutre et c’est plus orienté coaching, c’est celle-ci : L’échec est l’état ou la condition de ne pas atteindre un objectif souhaitable ou prévu et c’est tout : donc si je résume, l’échec c’est simplement un objectif qu’on n’a pas réussi à atteindre et alors ? Ce n’est pas grave. Cela signifie simplement que quelque chose ne s’est pas déroulé comme prévu.

Brooke nous dit que la plupart des gens n’atteignent pas leurs rêves parce qu’ils ne veulent pas échouer et ils abaissent leurs attentes dans le but d’éviter l’échec. Les gens veulent éviter l’échec parce qu’ils veulent éviter le sentiment qui peut découler d’un échec : serait-ce la honte ? la frustration ? L’ironie ici, c’est qu’en évitant l’échec, nous évitons quelque chose dont nous sommes finalement responsables c’est-à-dire comment nous nous sentons. Nous pouvons tout à fait contrôler ce que nous choisissons de penser à propos du fait de ne pas atteindre l’objectif, si cela se produit et la façon dont nous choisissons de penser à cela déterminera comment nous nous sentons.

Brooke cite Thomas J. Watson qui dit : “Si vous voulez réussir, vous devez doubler votre taux d’échec.” Plus nous échouons, plus nous sommes disposés à apprendre, surtout pour comprendre ce qui ne s’est pas passé comme prévu et donc plus nous apprenons et plus nous serons capable de répondre à nos propres attentes.

Brooke propose de voir l’échec comme une occasion d’apprendre, de se renforcer et de gagner en confiance. Elle nous encourage à accepter l’échec et à ne pas abandonner, car c’est ainsi que l’on progresse.

Lorsque nous ne répondons pas à nos propres attentes, notre réaction et le sens que nous donnons à cet échec déterminent nos émotions. La raison principale pour laquelle nous évitons l’échec est que nous évitons notre propre réaction face à celui-ci, bien que nous ayons le contrôle total sur celle-ci. Nous donnons un sens négatif à l’échec (il n’y a qu’à se souvenir de la définition du Larousse) et ce sont ces pensées négatives qui provoquent des émotions négatives en nous.

Il est possible de travailler sur cette réaction. Nous pouvons décider de ne pas dramatiser lorsque nous ne répondons pas à nos attentes et de trouver un aspect positif à cet échec, On évite ainsi d’éprouver des émotions négatives que nous créons nous-mêmes.

Par exemple, je décide que, sur une journée, je vais enregistrer 3 podcasts et faire 15 posts de façon à m’avancer et pouvoir me concentrer sur ma partie coaching ensuite. Malgré mes efforts, j’ai seulement enregistré 1 podcast et fait 5 posts à la fin de la journée. Si j’interprète cet échec comme une preuve de mon incompétence et que je me dis que je devrais arrêter de créer tout ce contenu car je n’y arriverai jamais, je crée une signification négative qui impacte mon moral directement.

En revanche, je peux décider de voir les choses différemment. Même si je n’ai pas créé autant que j’aurais voulu, je peux me réjouir de ce que j’ai fait. Je reconnais que je n’ai pas entièrement répondu à mes attentes, mais je choisis de voir cela comme une opportunité d’apprendre et de progresser pour la prochaine fois. Je peux me demander ce que je pourrais faire autrement la prochaine fois pour atteindre mon objectif et ainsi ajuster ma stratégie. Quand j’y pense de cette manière, cela ne me donne pas envie d’éviter l’échec. Je me dis : je tente et on verra. Cela me donne envie d’apprendre, de grandir et de réessayer.

En adoptant cette approche, l’échec devient une occasion d’apprentissage et de croissance plutôt qu’une expérience douloureuse. En modifiant la façon dont nous interprétons l’échec, nous pouvons continuer à avancer, en nous améliorant et en augmentant nos chances de réussite à l’avenir.

Une bonne technique est d’être soutien pour soi-même. En équipe, la plupart du temps, on se soutient les uns les autres sinon l’équipe ne fait pas long feu. Eh bien ce que je vous suggère c’est d’être un bon compagnon de route pour vous-même, un vrai soutien, un regard extérieur plein d’empathie et qui vous donne envie de continuer à avancer.

Brooke fait la comparaison avec l’enfant qui apprend à marcher. Il se lance, tombe, recommence et ainsi de suite et on peut dire que les premiers essais sont loin d’être parfaits, mais il s’accroche jusqu’à ce que soit un objectif réussi.

A ce sujet, le perfectionnisme, qui est souvent utilisé comme excuse pour éviter l’action et le risque d’échec, est en réalité une manifestation de la peur. La peur de ne pas répondre à ses propres attentes qui peut être liée à la tendance à se blâmer et à s’auto-flageller en cas d’échec. Cependant, comme je le disais, il est possible de faire un pacte avec soi-même pour traiter l’échec avec respect et bienveillance. En choisissant de voir l’échec comme une opportunité d’apprentissage plutôt que comme une occasion de se critiquer ou d’abandonner, nous sommes plus enclins à passer à l’action et à prendre les risques nécessaires pour réussir.

Lorsque nous sommes confrontés à quelque chose de nouveau, quelque chose que nous n’avons jamais fait auparavant, la confiance peut être plus difficile à trouver. Comment pouvons-nous ressentir cette même confiance face à l’inconnu ? La clé réside dans notre capacité à accepter l’échec comme une partie inévitable du processus d’apprentissage. Nous devons être prêts à échouer et à reconnaître que chaque échec est une occasion de progresser.

Un des mentors de Brooke Castillo, Ramit Sethi, encourage l’idée de pratiquer l’échec. Il s’efforce d’avoir au moins cinq échecs par mois. Pour lui, l’échec est un indicateur de son engagement et de son travail acharné. En changeant notre perception de l’échec et en le considérant comme une opportunité d’apprentissage et de croissance, nous pouvons renforcer notre confiance et notre enthousiasme pour essayer de nouvelles choses.

Pour terminer, Brooke distingue deux types d’échecs. D’une part, il y a l’échec qui survient lorsque l’on sort de sa zone de confort, que l’on prend des risques et que l’on se met en avant. Par exemple, cela peut être le fait de lancer un nouveau projet ou d’aller à un rendez-vous avec quelqu’un de nouveau. D’autre part, il y a l’échec qui découle du fait de ne pas se présenter du tout, de se saboter. Cela peut se manifester par le fait de ne pas honorer ses engagements, d’arriver en retard, de ne pas se préparer correctement ou de ne pas fournir un effort adéquat. Ce type d’échec est considéré comme un auto-sabotage et ne devrait pas être encouragé.

Brooke souligne l’importance de reconnaître les pensées qui alimentent l’évitement de l’échec, telles que la confusion, l’incertitude ou le fait de dire “Je ne sais pas”. Dans ces cas-là, il est très important de remplacer ces pensées par des affirmations constructives, telles que “Je suis en train de comprendre” ou “Je vais prendre une décision même si cela peut être considéré comme une mauvaise décision”.

L’échec comme une opportunité d’apprentissage, vous l’aviez envisagé comme ça, vous ? De mon côté, c’est Brooke qui m’a ouvert les yeux sur cela et ensuite tout paraît plus léger.

Ainsi s’achève cet épisode de podcast : Prenez du temps pour vous, Prenez le temps de vous concentrer sur ce que vous avez appelé des échecs dans le passé et comment ils vous ont construit. Peut-être que vous pourriez refaire d’autres tentatives d’échecs pour apprendre et vous perfectionner si ces projets vous tiennent à cœur.

Si vous n’avez pas eu le temps de prendre des notes, je vous ai préparé un workbook pour vous permettre de faire l’exercice à tête reposée et surtout de prendre le temps d’explorer ce que vous considérez comme des échecs, du gâchis et de voir ce que vous en avez fait, comment ça vous a aidé à grandir : un véritable exercice de coaching en cadeau pour vous aider à avancer.

Je vous laisse réfléchir à cela et je mets tous les liens à la fin de la retranscription.

Partagez avec moi ce que ce podcast vous a apporté.

Je vous donne rendez-vous vendredi prochain pour ma prochaine interview avec Béatrice Roy. D’ici là, très belle semaine et à très bientôt.

Si vous êtes resté jusqu’à la fin de ce podcast, sachez que j’organise un concours : pour cela, il vous suffit de laisser un commentaire sur apple podcast ou spotify et de m’envoyer la copie d’écran de ce commentaire sur l’adresse contact arobase bluemidlife.fr car nous ne savons pas qui nous met un commentaire. Tous les 8 podcasts, je ferai un tirage au sort pour offrir à une personne 1 heure de coaching dédiée à ses objectifs professionnels. A très bientôt

Si cet épisode vous a plu, n’hésitez pas à le liker, à le partager, à mettre 5 étoiles sur votre plateforme d’écoute préférée et je vous souhaite une belle semaine.

Le lien vers le podcast 7 avec le Workbook à télécharger : https://bluemidlife.fr/blue-midvoice-episode-7-comment-se-fixer-des-objectifs/

Le lien du podcast d’origine sur le site de Brooke Castillo : Ep #4: How to Fail – The Life Coach School